Resumo

ELVIRA, Oscar Alfredo. Empire: Impérialisme. Une dimension humaine. Tempo psicanal. [online]. 2022, vol.54, n.2, pp.535-552. ISSN 0101-4838.

Multitudes de minorités, nous amène à essayer de démêler les profondeurs de la constitution subjective et de la vie concomitante en société.Je m'inspirerai de Francisco Pizarro, conquérant du Pérou, et du film Macunaima, pour penser un Brésil profond. Pensons à F. Pizarro, qui par condition de classe était analphabète, mais avait été éduqué par le pouvoir en place, pour devenir un conquérant dans une perspective impérialiste, pour escroquer l'or et l'argent des peuples originaires de l'Amérique. Concernant le deuxième modèle que je veux développer, je vais devoir m'appuyer sur le film brésilien: Macunaima, est moche, pas accepté et condamné depuis son origine traumatique à la souffrance, étant donné qu'il est abandonné par sa propre mère, pour ne pas avoir respecté Des canons européens qui mesurent la beauté et l'idéal d'un humain parfait. Être blanc, avoir les yeux bleus, avoir de l'argent et escroquer les ouvriers. L'impérialisme, a priori, repose sur l'assujettissement du différent. Il opprime les peuples et les modes de vie culturels, pour exercer l'assujettissement par le pouvoir des armes et du capital pour acheter des sbires. Ce sont les minorités qui devront tisser un complot, lutter contre ce pouvoir omnipotent et, via une révolution des idées, installer une forme plus équitable et plus humaine, liée à l'horizontalité et non à la verticalité du pouvoir absolu du impérialiste classique.

Palavras-chave : Francisco Pizarro; Macunaima; Sandor Ferenczi; Rosa Arciniega; Diego de Almagro.

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