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Revista Mal Estar e Subjetividade

versão impressa ISSN 1518-6148

Resumo

PERICO, Waldir  e  JUSTO, José Sterza. O mal estar no trabalho: a culpa como mal estar e a culpa do mal estar. Rev. Mal-Estar Subj. [online]. 2011, vol.11, n.1, pp.135-169. ISSN 1518-6148.

Il s'agit d'une recherche théorique réflexive qui prétend, à partir des théories Psychanalytique et Freudo-marxiste, penser au malaise dans le travail - comme l'effet d'une civilisation répressive, ainsi qu'à ses possibilités sublimatoires, dans le cadre des discussions à propos des conflits entre l'individu et la civilisation. Le travail accorde à l'homme l'essentiel pour la représentation de soi-même et du monde. Des recherches actuelles signalent l'importance de la considération du travail dans le processus santé/maladie physique et mentale, ainsi que dans la subjectivité de l'homme à l'heure actuelle. Pourtant, les organisations du travail, employant des démarches réductionnistes et ayant comme complice le Savoir/Pouvoir médico-psychiatrique, tendent à déconsidérer leur part de responsabilité dans la "production" des maladies chez les ouvriers, notamment celles qui sont d'origine psychique. Freud, partant de la compréhension des névroses, a souligné que dans le conflit entre l'individu et la civilisation le premier paie un prix haut : le malaise constant (la culpabilitié comme malaise). Par contre, celui qui subit la culpabilité, au sens social du mot (la culpabilité du malaise), est la culture humaine, intermédiée par les organisations, étant celles-là les défenseurs des intérêts de la minorité qui détient les moyens de production/exploitation. Pour Freud, la croissance du sentiment de culpabilité est inévitable grâce à la nécessite de la répression des pulsions vis à vis le progrès culturel par l'intermède du travail déplaisant. Pourtant Reich et Marcuse proposent une solution pour le pessimisme freudien au sujet du conflit entre l'individu et la civilisation. Freud n'aurait pas suffisament évalué la nature socio-historique du principe de réalité, tout en le considérant universel. Donc, au niveau de répression correspondrait une classe socio-économique spécifique: la plus-value pour une minorité et la plus-répression pour la masse. Un Principe de Réalité moins répressif pourrait octroyer un progrès culturel plus juste et humanisateur. Plus que jamais on doit discuter la possibilité d'un travail sous des conditions sociales et psychologiques qui permettent la réduction du malaise des masses des ouvriers au sein de la civilisation.

Palavras-chave : Travail; Malaise; Conflit de Classes; Sublimation; Freudo-Marxisme.

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